JilBiSex66

En me remémorant mon apres midi passé plage de Torreilles, mon cul demandait que je l'ouvre. J'ai pris mon jouet et l'ai enfoncé tout au fond de moi. La semaine dernière je suis parti prendre le soleil à la plage naturiste de Torreilles.Je me suis posé dans un endroit un peu isolé, derrière une dune, attendant que ces messieurs veuillent bien prendre place à côté de moi. Je portais mon cockring en caoutchouc noir, laissant présager ma volonté d'être accosté. La queue bien dure j'ai passé de trop longues heures à ne prendre que le soleil. Bien que quelques mâles rodaient autour de moi, aucun n'a osé poursuivre ses pensées. Puis j'ai changé d'endroit, je suis cette fois allé directement à la source. Je me suis installé dans les buissons, sur le chemin de ceux qui cherchent de l'action a l'abri des regards indiscrets des vacanciers. Quelques minutes ont suffit à attirer quelques hommes qui ont remarqué mon manège sur la plage. Ils se sont posé a proximité. J'avais la queue bien raide et ai commencé à me caresser puis très vite à me branler, me regardant ils faisaient de même. Un homme s'est approché, s'est agenouillé près de moi, m'a souri, puis a commencé à me caresser le torse et très vite, a prit ma queue en main. Je me laissais faire, et j'aimais ça. Il m'a doucement léché les seins puis serrant ma queue entre ses mains comme pour faire rougir mon gland, me prit en bouche. J'adorais ça, il m'a sucé tendrement, puis plus rapidement,  gobant mon sexe entier tout au fond de sa gorge, sa salive lubrifiait mon sexe, ses mains pinçaient mes tétons, ses doigts pénétraient mon cul. Les badauds autour de nous s'arrêtaient voir le spectacle, agitant leurs queues entre leurs mains. Ca dura très longtemps, j'ai failli jouir plusieurs fois, me dérobant au dernier moment pour garder mon excitation car l'après midi n'était pas encore finie. Puis il me quitta, m'invitant à le rejoindre sur sa serviette plus tard. Chose que j'aurai fait si je n'avais rien trouvé d'autre. Je me suis donc retrouvé seul, et les badauds se sont dispersés, sauf quelques uns qui ont du se dire qu'avec un mec comme ça, il va encore y avoir du spectacle. Je me sentais de plus en plus salope, je faisais durcir des queues autour de moi et rien qu’à cette pensée, la mienne était énorme. Je continuais à me caresser, mon sexe coulait et je recueillais ces gouttes pour les porter à ma bouche, sur mes lèvres, dégustant mon excitation. Je pris dans mon sac mon gros tube de lubrifiant Durex, j'en appliquais sur ma queue mais aussi sur le tube, et devant un des gars qui s'était posté à quelques dizaines de centimètres de moi, j'écartais mes cuisses, ouvrais mes fesses, j’ai commencé à le glisser tout au fond de moi. J'entendais parler le gars, il me disait: "Oui, c'est bon, continue, allez, vas y" tout en se branlant. Je me suis dis "Tiens celui là, excité comme il est, il va te sauter dessus", et c'était le but. Des promeneurs passaient, je sentis que ça le gênait car il s'arrêtait de se caresser, alors moi aussi j'arrêtais de me goder et de me branler, jusqu'à ce que je m'aperçoive que finalement il ne ferait rien. Un autre gars, voyant le manège, se posta face à moi, puis n'y tenant plus, s'allongea à coté de moi. Il me caressa le torse puis le sexe, empoigna ma queue dans ses mains l'enfourna dans sa bouche. Il me suçait divinement bien, je perlais dans sa bouche et il avalait mon jus. J'avais encore mon jouet dans le cul. Lui ne l'avais pas vu, et j'ai commencé écarter mes jambes et le faire aller et venir en moi. Il voyait ma main s'agiter et descendit la sienne jusqu’à ma rondelle, je lui laissais la place, et empoignant mon gode, c'est lui maintenant qui le faisait aller en moi, tout en me suçant, j'étais au bord de l'explosion et je sais que dans ces moment là je mouille énormément de la queue, il a du en boire beaucoup de mes gouttes. Des gars passaient devant nous et sans aucune retenu j'écartais mes cuisse pour leur montrer le spectacle d'une salope qui se fait goder devant tout le monde sur la plage tout en se faisant sucer. Je ne pouvais plus tenir, mon cul était en feu, je mouillais aussi de ce côté là, et ses va et vient allaient me faire jouir. Je le lui dis, il sortit ma queue de sa bouche et me branla plus vite au dessus de mon ventre, mais je lui dis que je ne voulais jouir que dans sa bouche, il continua à me branler au lieu de me sucer, je le lui redis, mais rien à faire. Je n'allais pas jouir sur mon ventre après une excitation pareille. On entendit soudain une famille s'approcher avec des gosses. Je me raidis, enleva mon gode, qui était entier en moi, serra les jambes, lui se leva et partit tout aussi vite. Ce n'était pas plus mal car j'aurai regretté de jouir aussi banalement. Sous les yeux des badauds qui étaient encore là, je rangeai mes affaires, me rhabillais et partis aussi, tout en souriant à un homme qui s'était installé là pendant que je me faisais goder. Il avait le sexe lisse, dur, et me donna envie, encore, de faire plein de choses, mais l'après midi était passé et il fallait que je file. La prochaine fois j'espère que je me ferais baiser, j'ai toujours des capotes dans mon sac. 

Ce que vous voyez vous plait?

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Et pourquoi pas, peut être pourrons nous jouer ensemble...

il est enfin arrivé, mon "Antonio". Comme je l'espérais, rigide et souple au toucher, long 23 cm, et épais 5 cm. Dur à prendre en bouche, mais je n'ai pas résisté. Je l'ai dorloté, embrassé, puis gobé jusqu'à étouffement. Il est rapidement entré en moi. L'impression d'avoir une vrai queue, les nervures, l'énorme gland, les couilles agréables à lécher. Quelques va et vient m'ont fait énormément mouiller, je m'empale sur Antonio et lèche les gouttes qui perlent de ma queue. Je vous écris et il est en moi, dur d'écrire tellement je vibre d'excitation. Je suis déjà sur la prochaine commande, le programme sera chargé.... gros, long et lourd!