JilBiSex66
Voilà,
ça fait déjà quelques temps que je voulais créer ce blog.
Dans ce blog vous allez découvrir mes tendances, mes fantasmes, et mes désirs.
Très intimes et très sexes les articles qui suivront seront sans détours.
Bi, je le suis depuis ma plus jeune adolescence, quand je me surprenais à rêvasser de plusieurs mecs qui m'entraîneraient dans un coin, me désaperaient, me caressant, explorant, d'un ton très directeur, les moindres recoin de mon corps. Agrippant ma queue, fouillant mon cul. Je bandais très fort. Mon membre perlait. Je rêvais tout haut et mon corps réagissait. Devant mes devoirs je succombais à des désirs inconnus. Je me caressais, et le jean aux chevilles, je recopiais moi même les gestes de ces hommes, bien plus âgés que moi, et très virils. Mes mains caressaient mon sexe, écartaient mes fesses. Mes doigts s'immissaient sur mon jeune petit trou, lissaient de ma salive mon antre. Un doigt pénétra, et ce fut la révélation! J'adorais ça. Mes devoirs prenèrent, par la suite, une tout autre signification. Je jouais avec mon corps et le faisait de plus en plus. Les hommes de mes rêves avaient un appétit toujours plus grand. Très souvent je me suis retrouvé à quatre pattes devant leurs queues bien raides Dirigeant mes gestes, ils m'apprenaient à empoigner leurs membres, un dans chaque main, et tiré par la nuque me forçaient à engloutir le dernier dans ma bouche, grande ouverte, déformée par le monstre que l'on me présentais. Tour à tour je les ai sucé, ma salive courrait de sexe en sexe. Cambré et les cuisses largement ouvertes, leurs mains écartaient mes jeunes fesses, exploraient ma raie, massaient mon orifice englué de salive. Leurs doigts pénétraient tour à tour mon cul. Exploré dans les moindres recoin, mon corps répondait à leurs exigences. Je bouffais des queues,branlais des braquemarts énormes, offrais mon cul à leurs désirs. Je rêvais si fort que mon corps souffrait de ne pas pouvoir y répondre vraiment. Alors mes stylos devinrent me jouets. Les yeux fermés, les reins cambrés, les fesses en arrière et largement ouvertes , ainsi offertes, j'enfonçais petit à petit cette matière plastique tout au fond de moi.
Ainsi, mes fantasmes se révélèrent très vite un urgent besoin de les réaliser. La métamorphose était en marche.